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La France mon pays

13 octobre 2015

La lettre de Léosthène, Discours Merkel/Hollande parlement Strasbourg : l'occasion manquée !

Séance plénière au Parlement européen, à Strasbourg, le mercredi 7 octobre 2015. Le site de l’europarlement annonçait la venue du président français et de la chancelière allemande, venue mise en scène en parallèle avec celle du président Mitterrand et du chancelier Kohl en novembre 1989, il y a 26 ans, dans un tout autre contexte – l’UE comptait alors 12 membres, le mur de Berlin venait de s’effondrer, une dynamique nouvelle était logiquement attendue, jusqu’à l’euphorie, par les peuples européens. Au programme 26 ans plus tard donc, deux discours, et débat avec les chefs des groupes parlementaires. « Monsieur le Président, Madame la Chancelière fédérale, nous sommes impatients de connaître la teneur de vos idées et de l'impulsion que vous comptez donner à notre avenir commun », invitait Martin Schulz, président (allemand) du parlement européen après une brève ouverture (1). 

 

Sans surprise, les discours des deux dirigeants se sont inscrits dans leur temps : « Au lieu du mot '’espoir", employé par Mitterrand et Kohl, les discours de Merkel et d'Hollande étaient marqués par le mot "crise" : crise économique, crise sociale avec ses milliers de jeunes au chômage, crise des réfugiés et crise de la sécurité – avec le conflit en Ukraine et le terrorisme des fondamentalistes islamiques qui menacent l’Europe » écrit Karin Finkenzeller pour Die Zeit, ajoutant : « De réponse aux défis de l’Europe d’aujourd’hui, il n’y en avait pas » (2). Même déception pour Jörg Munich Berg (radio allemande Deutschlandfunk), qui, après avoir souligné « qu’il était bon qu’Angela Merkel et François Hollande soient ensemble au Parlement européen » parle d’occasion manquée : « Il manque une vision, un vecteur directionnel dans lequel l’Union européenne devrait se projeter. Pas un mot sur un approfondissement de l'union économique et monétaire au moment où celle-ci tend à se fragiliser chaque jour un peu plus. Merkel et Hollande ont manqué une occasion d'aborder ces questions. Vu sous cet angle, la réunion était une occasion manquée » (3).

 

Effectivement, François Hollande se pose pendant une demie heure en commentateur, les deux pieds dans un passé qu’il privilégie (Jacques Delors, François Mitterrand), puis, feuilletant le catalogue des « crises » actuelles, se tourne, tout en incantations, vers « un avenir à engager », dans l’urgence : « Nous avons à répondre à l’urgence, elle est là, et personne ne peut fermer les yeux sur les réalités du monde, personne (…). Nous devons répondre à l’urgence et garder le cap sur le long terme » (4). Lequel, précisément ? Angela Merkel à son tour aborde les problèmes qui la préoccupent – les migrants, le règlement de Dublin (demander l’asile se fait dans le pays d’arrivée, ce qui pour elle doit être modifié. Comment, précisément ?) - le soutien à une Europe unie (« les défis pan européens ne peuvent pas être résolus par les Etats isolément, mais seulement par les Etats ensemble ») - « beaucoup de choses justes », commente le Spiegel, mais qui auraient été courageuses il y a quelques semaines et qui ne sont aujourd’hui qu’évidences – non anticipées. Pire, « les discours tenus par Merkel et Hollande devant le parlement de Strasbourg incitent à la peur : cela ne va pas réussir » (5).

 

« L’impulsion » attendue vers un « avenir commun » a donc fait long feu.

 

Le rappel aux dures réalités est donc venu des chefs de deux chefs de groupes parlementaires (Europe de la liberté et de la démocratie directe et Europe des nations et libertés), tous deux tribuns accomplis, le britannique Nigel Farage dont le parti (UKIP) a réalisé une belle percée lors des dernières élections européennes dans son pays, et la française Marine Le Pen, à la tête de la plus grosse représentation de députés français au PE (25 élus contre 13 au PS, le groupe qu’elle préside avec Geert Wilders comporte 37 députés plus deux non inscrits, Jean-Marie Le Pen et Bruno Gollnisch). Oui, dit le premier, « toute personne saine d’esprit pense qu’il était sensé de voir la France et l’Allemagne assis autour d’une table ensemble, discuter et mettre en place des accords commerciaux, quand nous étions dans les années cinquante. Et travailler comme des nations souveraines et démocratiques pour la paix. Tout cela était absolument juste et bien pensé ».Malheureusement, poursuit Nigel Farage à sa manière très directe, cette association a mal tourné, ce qui règle aujourd’hui les rapports n’étant plus la recherche de la paix, mais celle du pouvoir. En effet « quand Mitterrand et Kohl sont venus ici représentant leurs pays il y a 26 ans, leur partenariat était celui d’égaux – ce qu’il n’est plus. La France est aujourd’hui sévèrement diminuée, piégée par une monnaie dans laquelle elle ne peut se redresser, et la voix française dans ce partenariat et en Europe est devenue, pour le dire franchement, portion congrue ». Puis, mettant les points sur les i quant à l’origine de la construction européenne : 

 

« Il est ironique de constater que ce projet, conçu pour contenir la puissance allemande, nous a donné une Europe totalement dominée par l’Allemagne ».

 

Les interventions des chefs de groupes ne durant que quatre minutes, Nigel Farage ne fait qu’effleurer le problème de l’euro (« L’Allemagne a une monnaie sous-évaluée de 20%, un excédent commercial croissant et massif. Et la plus grosse partie de cet excédent depuis la crise de 2008, vient de ses exportations vers les autres pays européens » - la Commission dit beaucoup plus poliment la même chose). Comme il effleure l’attitude allemande envers les migrants (« Ce que vous avez fait, c’est ouvrir les portes à de jeunes hommes, des migrants économiques » - dont « 80% ne sont pas syriens »). Il préfère relever la domination allemande sur ses voisins (la Hongrie, la Grèce) dont les opinions sont « écrasées », quand elles ne plaisent pas à l’Allemagne. S’il conclut sans surprise avec le vœu que le référendum britannique sur le Brexit réussisse, il a des mots rudes pour décrire l’Union européenne d’aujourd’hui, l’échec « d’une idée brillante qui a mal tourné » : « Ce n’est pas là une Europe de paix, c’est une Europe de division, c’est une Europe de la discorde, c’est une Europe du ressentiment ». Il condamne enfin celle qui est proposée « l’Europe ne fonctionne pas, donc nous devons avoir plus d’Europe, plus des mêmes échecs » (6).

 

Bien sûr, les propos tenus par Nigel Farage sont très peu repris dans la presse française, son attention retenue par l’interpellation de Marine Le Pen (« Merci, Madame Merkel, de venir aujourd’hui avec votre vice-chancelier, administrateur de la province France. Monsieur le vice-chancelier, j’aurais aimé pouvoir vous appeler M. le Président de la République, par respect pour votre fonction, mais pas plus que votre prédécesseur, vous n’exercez cette présidence »). Rendons d’abord à César ce qui lui appartient : l’expression de vice-chancelier est celle d’Emmanuel Todd, homme de gauche : « Cela fait déjà un moment que je parle de François Hollande comme du « vice-chancelier Hollande ». Voire même, désormais, plutôt comme d’un simple « directeur de communication de la Chancellerie ». Il n’est rien. Il a atteint des niveaux d’impopularité exceptionnels, qui viennent pour une part de sa servilité en face de l’Allemagne. François Hollande est aussi méprisé par les Français parce qu’il est un homme qui obéit à l’Allemagne » (entretien avec Olivier Berruyer, 1er septembre 2014) (7). L’expression, que l’anthropologue a utilisée lors de conférences données en Allemagne est donc publique, elle égratigne un comportement politique et non une fonction, sa reprise dans l’arène du Parlement européen légitime. 

 

Que dit Marine le Pen ? (8).

 

A sa manière directe – que l’on partage ou non ses convictions et ses postures n’est pas le sujet ici, elle va parler de la mise à mal des intérêts français, et de ceux des nations européennes, n’hésitant pas à s’adresser à la chancelière allemande : « Je ne vous reconnais pas, Madame, le droit de disposer de nous, dans une tentative absurde de domination allemande de l’Europe. La défense des intérêts allemands ne justifie pas la vassalisation des autres peuples d’Europe ». Elle rappelle encore sans ambages que le président est, dans la constitution française, le garant de cette constitution, et que, ce qui est exact, « le titre 1 de la constitution est : de la souveraineté ». Une souveraineté que le président a « le devoir » de défendre – ramenant au fond au premier plan un problème que nul dans l’UE ne sait résoudre aujourd’hui, celui de la légitimité des « transferts » progressifs du pouvoir de décision des autorités nationales à une institution communautaire. La Cour allemande de Karlsruhe a, elle, statué en 2009 : « Le Parlement européen n’est pas l'organe de représentation d'un peuple européen dont ses députés seraient les représentants (...). La majorité du Parlement de Bruxelles ne représente (donc) pas automatiquement la majorité des peuples de l'Europe ”. En conséquence, le lieu légitime du débat démocratique « est en premier lieu entre les mains des corps constitutionnels nationaux (qui agissent) au nom des peuples ». Il n’y a ni peuple, ni nation européenne, mais des traités internationaux : « L’Union européenne continue à constituer une union autour de règles (Herrschaftsverband) fondées sur le droit international, une union qui repose en permanence sur la volonté de ses Etats membres souverains» (9). Il faut relire, c’est très clair.

 

Aucune casuistique – et le président Hollande y excelle, comme il manie sans rougir la mauvaise foi (l’UE aurait décidé à 28 sur les migrants ?) – ne résoudra une question fondamentale pour les peuples européens : lorsque le président français évoque une « souveraineté » européenne, de quoi parle-t-il ? Qui l’exerce ? Les peuples interrogés ont dit non à plusieurs reprises aux projets « d’intégration » qu’on leur a présentés – et sont aujourd’hui déçus par les promesses européennes, nous sommes très loin de 1989 et de ses espérances. La réalité est simple : si un pays abandonne sa souveraineté (monnaie, défense, frontières, impôts…), il n’est plus souverain. Passer des traités et accords commerciaux est une chose – qui permet d’affirmer une puissance. Le reste appartient-il à une quelconque bureaucratie, quel que soit son nom et sa pompe ? Non, sauf à accepter de n’être plus une nation, cadre incontournable de la démocratie. Il y a là un choix, que les peuples n’ont pas fait – l’Allemagne s’affirmant souveraine dès 2009.

 

En la matière, l’esquive ne masque pas le vide, vide de projet et de proposition, vide de réflexion sur les lendemains possibles, sur la diversité de l’Europe aussi, qui est une richesse inexploitée dans le cadre actuel. La passe d’armes à Strasbourg – quels que soient les agendas personnels de Nigel Farage et Marine Le Pen – a au moins amené à la lumière, pour le plus grand nombre, une réflexion fondamentale sur l’avenir européen. Où est l’avenir commun ?

 

Pour l’heure une chose est claire : le roi est nu.

 

Hélène Nouaille

 

 

Notes :

 

(1) Parlement européen, le 7 octobre 2015, Martin Schulz, Ouverture de la séance solennelle avec le président François Hollande et la chancelière Angela Merkel

 

(2) Die Zeit, le 7 octobre 2015, Karin Finkenzeller, Merkel und Hollande, Kein Ruck geht durch Strasburg

 

(3) Deutschlandfunk, le 7 octobre 2015, Jörg Munich Berg, Den Erwartungen nicht gerecht geworden

 

(4) Site de l’Elysée, le 7 octobre 2015, Discours du président de la République au Parlement européen

 

(5) Spiegel online, le 7 octobre 2015, Markus Becker, Rede in Strasburg : Zu Schwach, um Europa zu stärken

 

(6) Intervention de Nigel Farage au PE, 7 octobre 2015 (sous-titrée en français, 3’39) :

 

(7) Entretien d’Emmanuel Todd avec Olivier Berruyer, les Crises.fr, le 1er septembre 2014, partie 1, La France s’est mise dans un rapport volontaire de servitude à l’Allemagne

 

(8) Intervention de Marine Le Pen au PE, le 7 octobre 2015, (4’24)

 

(9) Voir Léosthène n° 501/2009, le 8 juillet 2009, UE : une contribution allemande

La responsabilité de l’intégration européenne est en premier lieu entre les mains des corps constitutionnels nationaux (qui agissent) au nom des peuples ”. Ainsi ont parlé les sages de Karlsruhe – la Cour constitutionnelle allemande – le 30 juin dernier. Ils se prononçaient sur la compatibilité du Traité de Lisbonne avec la loi fondamentale allemande. “ L’Union européenne continue à constituer une union autour de règles (Herrschaftsverband) fondées sur le droit international, une union qui repose en permanence sur la volonté de ses Etats membres souverains ”. Dans ce cadre, et dans ce cadre seulement, “ l’Acte approuvant le Traité de Lisbonne (Zustimmungsgesetz zum Vertrag von Lissabon) est compatible avec la loi fondamentale ”. Le compromis est intéressant : il ne remet pas en cause l’édifice complexe qui permet à vingt sept Etats de fonctionner ensemble tout en rappelant que l’exercice démocratique des citoyens s’inscrit dans le cadre national des institutions parlementaires qui agissent en leur nom, en toute légitimité. Rien ne sera plus comme avant et le chemin est une fois de plus à inventer. Analyse.
<!--[if !supportLineBreakNewLine]-->Les attendus du jugement en anglais :
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28 janvier 2014

Le chomage mais pas que....

Moi Président, une belle phrase comme nous en avons l'habitude depuis presque 2 ans mais cela ne suffit pas à prendre les bonnes décisions.


Aujourd'hui nous voyons que les seules décisions qui ont été prises concernent des réformes sociétales qui provoquent des divisions dans la société française, des réformes qui visent à modifier la structure philosophique de notre société.


Mais que demande t on à un gouvernement de gérer la France au quotidien avec une vision d'avenir, et là Zéro sur toute la ligne, et sans l'appui de médias acquient à la politique de gauche, nous aurions des réactions plus radicales des syndicats.


Mais attention, les mouvements qui se mettent en route deviennent spontané et échappent à un encadrement structuré ce qui peut amené des débordements incontrôlés, et ce n'est pas en arrêtant 220 manifestants Dimanche que le gouvernement canalisera la grogne en France.

Les médias par leur petite couverture de l'évènement exacerbent les esprits, et les mouvements disparatres devraient se réunir à nouveau avec une radicalisation plus importante....de là à ce que la situation échappe à ce gouvernement, il n'y a qu'un pas...et cela peu aller très vite.

En effet, le ras le bol n'est pas que fiscal, chomage, limitation des libertés, extension des controles, laxisme judiciaire, déconnexion des élus avec la réalité, composent les ingrédients qui peuvent générer et fédérer un mouvement qui peut devenir rapidement incontrolable.

19 janvier 2014

Pourquoi sommes dans cette situation ???

Aujourd'hui nous avons le début d'une crise politique et institutionnelle, en effet notre président par le cynisme avec lequel il traite sa sphère privée nous montre comment il gère le pays, mensonge et opportunisme.

Mensonges la il n'y a même pas à essayer de trouver des exemples, depuis 2012 ils se succèdent à un rythme presque journalier.

Opportunismes, chaque conférence de presse ou intervention télévisée nous montre sa grande capacité à un discours opportunistes, sans aucune réelle décision...

 

Comment sommes nous arrivés à cette situation?

 

Depuis le début de la 5eme république la situation se dégrade,

De gaulle par vendetta personnel avec les sénateurs rate la réforme de la régionalisation.

 

Chirac avec le même état d'esprit envers VGE, amène Mitterand au pouvoir. Et pourtant nous avions un visionnaire dans la droite ligne de Pompidou comme premier ministre Raymond Barre.

 

Pendant les 14 années de pouvoir socialiste, corruption, politique démagogique, erreur stratégique sur la politique européenne, vont déliter la conscience nationale Française, et imposer le politiquement correct. Ceci amènera un revirement des milieux intellectuels, et plus particulièrement des médias.

Le problème de l'ère Mitterand, ce sera sa philosophie personnel, philosophie de droite avec application de concept de gauche cette dualité explique les erreurs commises lors de ces 14 années.

 

Chirac voulait être Président, tout le monde pensait que ce serait un bon Président énergique et décidé, il nous en avait donné des exemples par le passé. Malheureusement il va dirigé la France avec la même philosophie que Mitterand, avec une position diamétralement opposé, radical de gauche essayant d'appliquer une politique de droite, comme pour l'ère Mitterand, cela amènera un grand nombre d'erreurs et des non décisions qui enliseront un peu plus la France. Son antagonisme avec Sarkozy, aura comme résultat de diabolisé celui-ci, et d'en faire le bouc émissaire de ce gouvernement dont le principal problème était les non décisions de Chirac, voir réforme de l'éducation nationale préconisé par Fillon.



Sarkozy devient Président, avec la philosophie de stabilité préconisé par Fillon, nous gouvernons ensemble pour la législature. Il est élu mais la crise de 2008 va casser son élan, il faut faire face au problème qu'elle pose, et il va sauver la situation, en effet, il est reconnu dans tous les pays autres que la France que Nicolas Sarkozy a contribué activement à éviter le pire lors de cette crise. Son problème viendra de l'énergie nécessaire pour sauver la zone Euros, qui l'empèchera de mener à bien les réformes qu'ils avaient, avec Fillon, décidé de mettre en place, celles ci arriveront trop tard dans les derniers mois de son quinquennat, le 2eme problème vient de la campagne de dénigrement orchestrée par les intellectuels de gauche et plus particulièrement les journalistes qui au lieu de rapporter les actions positives se complaisent dans la négation quotidienne de la politique de Sarkozy.



La conséquence amènera Hollande à la présidence, quelque part c'est un  bien, car les hurlements de la gauche les oblige aujourd'hui à essayer de gérer un pays qu'ils ont toujours considéré à l'abri de la concurrence internationale, cela leur donne petite à petit la notion d'économie de marché nécessaire à la compréhension de la situation. Par contre leurs erreurs pédagogiques constantes divisent de plus en plus les Français, mais avec un point positif, même si nous ne sommes pas d'accord notre survie dépend de notre entente, et petit à petit les Français se retrouvent autour d'une vision qui dérange.



En effet, les Français déconsidèrent, de plus en plus, la classe politique qui n'agit plus trop occupé à essayer de conserver leurs petits fauteuils de notables locaux, ce qui génèrent les abstentions record que nous connaissons, les Français attendent des journalistes une information plus objective.

 

Mais dans leur ensembles les Français ont confiance dans la capacité du pays à se relancer, pour cela nous avons besoin d'un personnage avec un caractère bien trempé et une vision pour le devenir de la France.

 

Aujourd'hui, ce personnage existe mais il ne doit pas se manifester, car il faut que, malheureusement, la situation se détériore encore un peu pour que nous puissions retrouver les moteurs de l'union nationale...

 

Patience le renouveau est en route, mais le chemin sera difficile car il faut impérativement que nos politiques prennent pleinement conscience de la situation....

 

6 janvier 2014

France liberticide

De plus en plus d'articles sur les blogs parlent de cette France de l'interdit.

Notre pays est dirigé par des politiques qui ont par opportunisme abandonné une partie de leur conviction marxiste.

En effet, prenons les écologistes, parlent-ils vraiment d'écologie, non ils veulent remodeler notre société suivant leur critères, en modifiant notre façon de penser. Pour cela ils se servent de l'écologie comme fil conducteur et préconisent une modification totale de notre société allant jusqu'à la déflation. pour les socialistes la situation est identique, philosophie dt durs se serrent les coudes à gauche plus près de Mélenchon que de la social démocratie, les soi-disants plus modérés déforment leurs pensées de façon à nous manipuler pour que nous adhérions à leur vision sociétale, ce qui expliquent leurs mensonges, et ils ont fais leur doctrine de la phrase "Mentez, mentez encore et toujours, il en restera bien quelque chose. Plus un mensonge est gros, plus il a des chances d'être cru". voir affaire Cahuzac.

Au nom de la liberté ils vont libéralisé le cannabis et taxé les cigarettes, car comme vous le savez le tabac est beaucoup plus nuisible que le cannabis. Au nom de la protection des individus ils vont modifié les vitesses autorisées sur les route de France, car comme vous le savez tous les automobilistes sont des délinquants. Au nom de l'égalité ils vont taxé les hauts revenus mais surtout pas toucher à leurs avantages de responsable politique. Au nom de la responsabilité collective ils vont augmenté les impots pour que nous puissions diminué les déficits, car comme vous le savez les responsables des collectivités gèrent notre pays en bon père de famille, et il ne faut surtout pas leur dire que certaines de leurs dépenses sont inutiles et trop couteuses, il vous sera répondu que vous n'y connaissez rien. Au nom de la laicité, ils vont essayé d'éradiqué notre référence judéo-chrétienne, tout en valorisant la religion mulsumanne  etc....

Les exemples sont tellement nombreux que nous ne pouvons pas relevé toutes les modifications sociétales qui se développent quotidiennement, même les réformes nécessaires sont utilisées pour diviser la société française car le but est d'éviter qu'elle ne se retrouve sur un sujet unique, l'exemple du mouvement des bonnets rouges à montrer la limite à ne pas dépasser.

La situation actuelle n'est pas sans rappeler le règne de Louis XVI, un roi à l'écoute mais qui se rangeait derrière le dernier qui avait parlé, une situation économique difficile, un engagement militaire contre les anglais, une population qui subissait le manque de travail, les impots, et l'insécurité.....Les notables qui étaient dispensés de payer l'impot....

Le politiquement correct vise à limiter les contestataires en les cantonnant dans un language stéréotypé, et les bien pensants essayent de faire pression pour que le pouvoir médiatique empêche les manifestations d'opinion trop à la marge de ce politiquement correct, le résultat la montés du FN qui réunit sous son drapeau les contestatires qui ne représentent pas le FN mais la seule voie qui permette de s'exprimer contre cette privation de liberté. Depuis Jospin le parti socialiste fait une différence entre le peuple et la nomenklatura de gauche,  cette philosopjie pepermet à la gauche d'afficher un dogmatisme qui met le pragmatisme de la droite en difficulté, le problème réside dans qui a la maîtrise de la situation actuelle et la nous n'avons pas de réponse. 

28 décembre 2013

Quenelle Dieudonné Anelka

Après Valls qui veut interdire les spectacles de Dieudonné voilà Valérie Fourneyron qui réagit à la quenelle de Nicolas Anelka, aujourd'hui après un but.

«Le geste d'Anelka est une provocation choquante, écœurante. Pas de place pour antisémitisme et incitation à la haine sur terrain de foot», a tweeté la ministre des Sports.

L'ancien attaquant de l'équipe de France a fêté son premier but du jour avec West Bromwich Albion en championnat d'Angleterre avec ce signe, interprété pour certains comme un salut antisémite, pour d'autres comme un simple bras d'honneur anti-système.

Je ne suis fan ni de l'un ni de l'autre mais je me demande où va s'arrêter cette mascarade. Peut-être après la mise en cause de Mr Obama.....

Occupez vous de la France vous êtes en place pour cela....

quenelle obama

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13 décembre 2013

l intégration suite

une suite avec cette video http://www.youtube.com/watch?v=aNWeLZARCUI&feature=share

probablement la où nos chers très chers amis socialistes veulent nous amener.

En conclusion il est évident que les intérets des Français et les intérets de nos politiques ne sont pas les mêmes....

13 décembre 2013

Intégration : le rapport qui veut autoriser le voile à l'école

Révoltant,

Les socialistes défendeurs de la laicité qui demandent au Français "d'assumer la dimension arabo oriental de nos origines", j'ai toujours pensé comme mes ancêtres que nos origines étaient judéo chrétienne.

Mais la dictature intellectuelle des socialistes et leur alliés veut nous imposer leur vision de notre histoire, nous avons la modification de manuel d'histoire, les attaques essuyées par Lorant Deutsch lors de la parution de son livre sur la France dans lequel il a eu la malheur de parler de l'arret de l'invasion sarrazine à Poitiers.

Notre Président déploie l'armée française pour arrêter le massacre ethnique et religieux en RCA, la minorité mulsumane assassine les chrétiens, et ici son premier ministre essaye de nous faire avaler que nous sommes arabo oriental.

Devant cette injure à notre histoire nos politiques brillent par leur silence devant une situation qui devrait les révolté.


Une manipulation politique qui j'espère sera lourdement sanctionné par un vote contestataire, mais l'explication est peut être plus simple un calcul socialiste pour éviter la déroute électorale qui se prépare en poussant les gens à voter pour le FN, et éviter la victoire de l'UDI et l'UMP.

En effet, comme par hasard la réflexion sera lancé au cours du mois de janvier 2014.


Quelle tristesse de voir des irresponsables utiliser les différences et diviser le pays sans en mesurer les conséquences, pauvre France.

 

Sur le lien suivant vous pouvez lire l'interview de Malika Sorel, ancien membre du Haut Conseil à l'intégration.

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/12/12/01016-20131212ARTFIG00612-malika-sorel-sutter-une-veritable-police-de-la-pensee.php

27 novembre 2013

Les """élites""" et le ""peuple""

La c'est un grand coup de colère j'en ai ras le bol d'entendre nos politiques parlé de nous comme ""le peuple"".

Nous avons vraiment l'impression qu'il y a eux les grands intelligents etc.... et nous pauvre population de demeurés qui ne comprennent pas les grands desseins que cette ""élite"" nous fabrique au quotidien.

Le problème c'est que nous les Français nous en avons ras le bol de ce mépris, et si nous étions appelés Français avec fierté l'appartenance serait collective ""élite et contribuable"", mais cette différenciation avec le peuple démontre au jour le jour le fossé qu'il y a entre cette élite et le reste des Français.

Pour ma part je me sens Français, et ma différence avec cette ""élite"" tient dans le fait que je pense France alors qu'eux ne savent même plus où elle se trouve, ils sont sur une autre planète dans le confort de leur situation préservée, et financée par nos impots et ils oublient qu'ils sont là pour s'occuper de la France et non de leurs petites magouilles qui ne les rend pas plus intelligents, mais cresuent ce fossé entre eux et nous.

Je suis Français, respectueux de notre système démocratique, content de l'être, fier de mon pays et j'aimerais que nos représentants est le même discours et pensent à la France avant de penser à leur réélection.

Cette façon de parler du ""peuple"" est tellement péjorative que je ne comprends pas que les conseillers en communication de cette ""élite"" ne les mettent pas en garde. Toutefois nous pouvons aussi interpréter cela d'une autre façon l'association de toutes les polpulations de France, et si c'est le cas alors nos ""élite"" font une fois de plus le jeu du FN, en essayant de réduire le ""peuple"" à une mixité de population de différentes origines en oubliant l'élément fédérateur qui est la France et la fierté d'appartenir à ce pays, mais c'est un autre débat.

27 novembre 2013

Le Mali .... La Centrafrique

Ce qui est intéressant avec ce gouvernement, et notre Président, c'est de constater la fermeté qu'ils peuvent avoir avec les sitruations difficiles à l'extérieur de la France et la mollesse de leur réaction pour gérer la stuation difficile de la France.

Un exemple ferme avec la Syrie....moue avec Duflot, l'inverse lui aurait évité de baisser dans les sondages.....

Nous voyons tous les jours des faux problèmes se mettre sur le devant de la scène de façon à cacher le manque d'initiatives, le dernier exemple "la réforme fiscale" orchestré par le premier ministre avec la complicité des médias.

Cette situation est très intéressante, car à l'opposé des réformes sociétales ou il était possible d'opposetr une partie de la France à l'autre partie, dans celle-ci, il n'y a aucune de ces possibilités mais simplement d'essayer d'expliquer ce que cela apporterait de positifs à l'organisation de la france, et là "patatra"cela n'apporte rien uniquement de nouveau casse tête car notre système fiscale est tellement embrouillé que la simplification a pour risque principal d'aboutir à une augmentation d'impots pour certains contribuables.

Pourquoi cette décision.....et bien pour avoir la paix et se donner un sursis en essayant de démontrer que ce gouvernement fait quelque chose, l'interprétation des Français est différente, nous sonsidérons qu'il y a des mesures d'urgence à prendre pour relancer l'économie et cette déconnexion de l'exécutif relayé par les médias avec les Français va aggravé le fossé qui se creuse avec les Français.

Les Français sont de temps caractériels et ils se pourrait que cette situation amène des réactions violentes qui ne seront positives pour personne.

Mon conseil à nos gouvernants arrêtez vos petites magouilles politiques, et proposez au Français une réforme peut être difficiles mais avec un objectif clair, mais cela est peut être trop demander à vos esprit étriqués......

11 novembre 2013

pourquoi les radars ?

Tout le monde sait que ces radars sont en partie inutiles, coutent un maximum: entretien et installation,  enrichissent un consortium privé, et font rentré des impots via les contraventions.


Ils créent aussi des désespérances chez certains professionels de la route qui se retrouvent sans permis et obligé de rouler sans permis ou de s'arrêter de travailler, de bonnes âmes vous diront ils n'avaient quà faire attention, ce sont ceux-la qui prendront partis de protéger les sans papiers, les expulsés etc... mais les gens qui participent aux développement du pays et qui se retrouvent en difficulté à cause de petites infractions mineures oui ceux là mériteraient d'être expulsés.


La courbe de réduction des accidents ne descend pas plus vite depuis qu'ils sont installés, cela est démontré par les statistiques, dans le discours officiel il ne faut surtout pas prendre en compte l'augmentation du cout des carburants qui est aussi un facteur dissuasif de la vitesse, les mémorisateurs de vitesse installés sur la plupart des véhicules et qui permettent de garder une vitesse constante avec moins de fatigue nerveuse, bref une multitude de données dont personnes ne parlent mais qui contribuent à cette diminution de la vitesse.

Si vous avez été pris en excès de vitesse rappelez vous où et comment, vous verrez la plupart du temps à cause d'une diminution de la vitesse mal signalé, sur une autoroute ou une 4 voies et qui vous amène à la faute, et cela pour 90% des excès constatés.


En conséquence, les radars représentent un symbole de la pression fiscale et c'est dans cet esprit qu'ils sont détériorés.
Les Français en ont marre d'être pressurés par les administrations et de ne pouvoir le faire savoir. Ils voudraient un peu plus d'humanité dans ces décisions, cela leur est refusé et le pouvoir va au-dela en confiant les recours pour contravention au Conseil d'Etat, car il estime que gérer ces contraventions au tribunnal de police coutent et embouteille cette administration....


Aujourd'hui ces mouvements symbolisent tous ces ras le bol, et ce serait une grave erreur de ne pas essayer de comprendre cette situation.


En France, c'est toujours la même chose une pression de plus en plus importante qui entraine une réaction extrême, alors que dans d'autre pays le pouvoir de la discussion et du compromis trouve des solutions, mais nous souffrons d'un pouvoir trop centralisé et en déconnexion complète avec la population.Comme je l'ai déja écrit supprimons les départements et les communes, renforçons le pouvoir régionale et les intercommunalités de façon à rétablir la connexion entre la population et l'Etat.

Solution trop simple et contraire aux intérets des parasytres qui vivent des impots de la République....alors.....

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